Communications asynchrones

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En participant au colloque ROC 2021, vous avez accès à 12 communications à écouter quand bon vous semble.

L’entretien d’évaluation en visioconférence dans un contexte de formation à distance asynchrone autoportante

En mars 2020, le Cégep à distance a dû se pencher rapidement sur la question des évaluations finales qui se déroulaient jusqu’alors en sites de passation. Les équipes ont fait front commun pour établir un processus de passation des évaluations finales en ligne qui se devaient d’être pérennes, les examens en présentiel étant le seul frein à la grande flexibilité (horaire et lieu) du modèle de formation asynchrone autoportante du Cégep à distance. Plusieurs pistes ont été explorées dont les systèmes de surveillance, qui sont souvent « très couteux » et « qui soulèvent toutes sortes d’enjeux, notamment liés au droit à la vie privée » (Fortier, 2020). C’est donc l’entretien d’évaluation en visioconférence (Cormier, Turcotte, Arsenault-Hubert et Voisard, 2020; Heilporn et Denis, 2020; Prioleau, 2021; Rhéaume, 2021) avec le tuteur qui s’est avéré notre choix. L’objectif est d’évaluer la démarche d’apprentissage de l’étudiant dans le cours. De ce fait, nous vérifions que celui-ci a bel et bien participé aux évaluations sachant que « l’entrevue individuelle est en quelque sorte immunisée contre le plagiat ou la tricherie » (Prioleau, 2021). Elle est également un moment privilégié entre le tuteur et l’étudiant et permet de conclure le parcours de l’étudiant sur une note humaine, ce qui a d’autant plus d’importance en contexte de formation asynchrone autoportante dans lequel « la présence sociale de l’enseignant est fort susceptible de détourner les étudiants de l’abandon » (Boisvert et Facchin, 2020). Cette communication présentera l’implantation de cet entretien, son déroulement et quelques perceptions de tuteurs.

Marie-Michèle Rhéaume, Martin Roy (Cégep à distance)

Allers-retours entre recherche et pratique : analyse de besoins et capsules complémentaires au service des enseignants de Catalan langue additionnelle

On en sait peu dans le domaine des langues sur l’utilisation de rétroactions asynchrones sur le développement langagier comparé à la rétroaction reçue traditionnellement en classe, dans une approche plus traditionnelle, surtout pour les langues autres que l’anglais (Valverde-Berrocoso, Arroyo, Videla et Morales-Cevallos, 2020). Aussi, on critique souvent la recherche en acquisition des langues secondes de manquer d’implications claires pour la pratique. Or, le lien entre la recherche et le terrain est central si l’on veut optimiser le choix du matériel approprié en classe (Haukås, 2016). Dans cette optique, cette présentation se penche sur le lien entre la recherche et la pratique, et présente les résultats préliminaires des premières phases d’un vaste projet sur l’impact formatif de la rétroaction automatique (directe et indirecte) dans les cours de langue en contexte authentique (hybride et à distance). Se basant sur les erreurs (grammaticales, lexicales et morphologiques) les plus fréquentes à l’écrit identifiées dans des études de corpus d’apprenants universitaires d’une langue tierce ou additionnelle (Catalan) (Joan Casademont, 2020; Joan Casademont, Bach et Viladrich Castellanas, 2020; Joan Casademont et Gagné, 2020), nous proposons de créer des capsules de microapprentissage et des exercices qui utilisent différents types de rétroaction pour les enseignants de ces contextes d’apprentissage. Cette première phase du projet contribue au partage d’avancées scientifiques en offrant aux enseignants de langues minoritaires comme le Catalan d’avoir accès à du matériel basé sur la recherche par le biais d’une communauté de pratique en ligne; matériel basé sur les données issues du terrain.

Anna Joan Casademont, Nancy Gagné (Université TÉLUQ)

Èric Viladrich Castellanas (Université de Montréal)

L’intégration des technologies éducatives en Côte d’Ivoire à l’épreuve de la pandémie COVID-19 : la continuité pédagogique à l’Université Alassane Ouattara de Bouaké

En Côte d’Ivoire, la volonté d’intégrer les technologies de l’information et de la communication dans l’enseignement (TICE) existe depuis les années 2000 (Bogui, 2006). Elle s’est encore matérialisée en 2015 par la création d’une Université Virtuelle Ivoirienne (UVCI) avec des objectifs ambitieux de généraliser l’accès à l’éducation pour tous et de répondre à la problématique de l’employabilité des diplômés. En revanche, les dispositifs mis en œuvre n’offrent toujours pas la possibilité aux acteurs (étudiants, enseignants, personnels administratifs et techniques) de bénéficier de la valeur ajoutée de ces nouveaux moyens de médiation des connaissances et d’exploiter à bon escient leurs impacts socioéconomiques (Kouadio, 2019). La crise du Coronavirus survenue en 2020 a davantage amplifié les problèmes d’usage et d’appropriation des technologies numériques éducatives posant les établissements scolaires et universitaires devant le défi majeur de la continuité pédagogique (Massou, Cathia et Pulker, 2020). Partant de ce constat, notre communication envisage d’analyser les données de terrain pour étudier les facteurs qui agissent en faveur ou à l’encontre de la continuité pédagogique en Côte d’Ivoire. Notre proposition s’inscrit dans un modèle d’écosystème universitaire basé sur l’usage du numérique éducatif au sein de l’Université Alassane Ouattara de Bouaké. Notre approche de travail sera double, d’abord une description du contexte numérique ivoirien à partir des assises du numérique de 2021 en Côte d’Ivoire, mais aussi une analyse comparée entre les tendances mondiales dégagées autour de la continuité pédagogique et les mesures entreprises dans ce sens par les universités ivoiriennes.

Brou Constant Willy Kouadio (Université Bordeaux Montaigne)

Révolution h5p et communauté de pratique en enseignement à distance du Centre de langues de l’Université de Montréal

Lors du virage forcé en mars 2020 vers l’enseignement 100 % en ligne, les échanges enrichissants entre les membres de la communauté de pratique de chargé(e)s de cours du Centre de langue de l’Université de Montréal ont abouti, en mai 2020, à une première compilation de bonnes pratiques en enseignement à distance. Ce guide a permis de s’attaquer rapidement à l’isolement des étudiant(e)s, de susciter la participation active, de rendre davantage ludique le processus d’apprentissage et de réduire le stress technologique chez les enseignant(e)s. Au-delà des breakoutrooms et de l’exploitation pédagogique d’autres fonctions de Zoom et de StudiUM (plateforme Moodle de l’Université de Montréal), ce sont les activités interactives h5p (www.h5p.org) qui ont séduit tant les enseignant(e)s que les étudiant(e)s au Centre de langues, ailleurs à l’Université de Montréal et à travers le monde. En effet, l’expertise du Centre de langues a servi de levier pour mettre en place pas moins de vingt ateliers éclairs au sein de la cellule pédagogique de la Faculté des Arts et des sciences : une expérience immersive offerte aux professeur(e)s et chargé(e)s de cours pour qu’ils tirent profit des outils d’évaluation, de suivi et de communication avec les étudiant(e)s. Cet esprit de collaboration de la communauté de pratique du Centre de langues et l’expertise h5p acquise ont rendu possible la création de la communauté h5p.cat(www.h5p.cat), le réseau regroupant plus de 80 enseignant(e)s de catalan langue additionnelle à travers le monde qui ont déjà créé et partagé plus de 500 activités interactives depuis l’automne 2020.

Èric Viladrich Castellanas (Université de Montréal)

Analyse des plans de cours : des fonctions des outils numériques

Dans le contexte de la transition présentiel-FAD d’enseignant(e)s des programmes de techniques juridiques, techniques d’intervention en délinquance, de l’AEC en techniques d’éducation spécialisée et du programme arts, lettres et communication du Cégep de la Gaspésie et des Îles, nous avons analysé l’ensemble des plans de cours pour l’année scolaire 2020-2021. Les éléments que nous avons pris en compte relèvent des outils numériques et de leurs fonctions, les types d’environnement d’apprentissage en situation d’enseignement et/ou d’apprentissage au regard de la modalité (synchrone, asynchrone, hybride, en classe ou en stage). Lors de notre présentation, notre grille d’analyse documentaire sera présentée ainsi qu’une schématisation des résultats en cette première année d’exercice de cet ambitieux projet de recherche.

Lina Sylvain (Université du Québec à Rimouski)

Quelle utilisation de la classe « Bitmoji » par les enseignants en contexte de pandémie?

La COVID-19, et plus précisément les différents confinements, ont provoqué de nombreux changements au sein du paysage scolaire. La situation de pandémie a poussé les enseignants à s’adapter, à modifier leurs pratiques pédagogiques pour mettre en place un enseignement à distance d’urgence, dans un laps de temps parfois très court, afin de compenser la suspension des cours en présentiel et d’assurer une forme de continuité pédagogique. Les enseignants sont rapidement passés d’un enseignement traditionnel en face à face à un enseignement à distance d’urgence. La crise sanitaire a mobilisé leur créativité et a ainsi permis l’émergence de nombreuses pratiques innovantes telles que la classe Bitmoji simulant la salle de classe physique dans un environnement en ligne, rendant ce passage à distance moins difficile. En effet, pour maintenir une forme de continuité dans les apprentissages, certains enseignants ont mis en place des environnements d’apprentissage en ligne ludiques et accueillants, représentant une salle de classe virtuelle Bitmoji leur permettant d’organiser et présenter leurs cours (Kay, 2020).

Laetitia Dragone, Karim Boumazguida, Gaetan Temperman, Bruno De Lièvre (Université de Mons)

Une approche prospective de la digitalisation des formations en milieu insulaire

La littérature contemporaine présente de grands intérêts pour des segments de la numérisation de contenus. L’enjeu prioritaire étant d’améliorer, de résoudre des contraintes spécifiques… La démarche d’investigation s’opère par des études croisées réalisées au Québec, en Belgique, en France et en lien avec des concepts multimodaux. Cependant, comme une étude ne peut se réduire à un objectif ou des indicateurs limités, celle relative à la transformation digitale des contenus ne peut prétendre à cette économie. Cette communication interroge le concept de la continuité pédagogique avec pour ambition de faire émerger des analyseurs liés à l’étude de la digitalisation des formations en milieu insulaire. Il s’agit de mettre en lumière des prérequis, comme éléments propédeutiques à une analyse prospective issue des propositions de différents scenarii. En référence à la « Théorie enracinée ou ancrée », nous avons traité des données empiriques issues de la revue de littérature au moyen d’un logiciel d’analyse de données quantitatives. La codification a permis d’extraire des variables que nous avons classées en utilisant le modèle SMOCS. En résulte de ce traitement, regroupé en trois variables explicatives, l’identification de sept typologies en lien avec la transformation digitale et la transmission des contenus pédagogiques. Les indicateurs identifiés nous confortent dans l’hypothèse qu’un projet de digitalisation de contenus en milieu insulaire ne peut se limiter qu’à un nombre restreint ou sélectif de variables. Ainsi, les scenarii et/ou modèles d’action proposés contribueront à des futurs possibles dont le but ultime est une aide à la prise de décision globale et contextualisée.

Jean Robert Patrick Goornaden (Institut Régional du Travail Social de La Réunion)

Pratiques collaboratives et ressources éducatives libres

L’essor du mouvement pour une éducation libre et ouverte favorise l’émergence de nouvelles pratiques collaboratives en apprentissage. Le fait d’adopter, d’adapter, de développer et de promouvoir des ressources éducatives libres (REL) donne un souffle nouveau à des approches pédagogiques déjà connues au Québec. Lors de ce partage d’innovation, nous mettrons de l’avant diverses expériences de collaboration ayant cours dans le milieu de l’enseignement supérieur québécois. Les REL prennent différentes formes et encouragent l’apprentissage par les pairs. Créer des modules interactifs pour l’enseignement à partir de contenus existants, former des enseignants dans une démarche de cocréation ou promouvoir du matériel didactique conçu pour un cours spécifique, les exemples d’innovation pédagogique mettant à profit les REL sont de plus en plus présents dans notre réseau (Gouvernement du Québec, 2020; Conseil supérieur de l’éducation, 2020). L’appropriation de ressources pédagogiques numériques passe par des dynamiques sociales complexes qui relèvent les inégalités sociales (Brandl, 2020) et l’importance de certains types de communautés d’apprentissage (Ferone et Crinon, 2021). Les activités liées aux REL permettent d’observer une grande fluidité des interactions sociales et d’aplanir certaines hiérarchies, surtout lorsque les rôles s’inversent et que des associations étudiantes financent la création des ressources que leurs membres utiliseront. La nature même des REL permet à notre écosystème d’apprentissage de s’enrichir grâce à l’apport d’autres milieux éducatifs. Dans cette optique, les licences associées aux REL permettent souvent de les adapter à divers contextes et de les traduire. Qui plus est, des versions récentes de nos environnements numériques d’apprentissage favorisent le partage et l’intégration de REL. Cette communication vous permettra de situer les REL dans votre propre pratique et de les associer à une démarche collaborative et à des pratiques pédagogiques innovantes.

Camille Arpin, Alexandre Enkerli (Collecto Services regroupés en éducation)

Envisager autrement l’enseignement et l’apprentissage des langues secondes : l’approche eTandem

L’apprentissage des langues en tandem est une approche à l’enseignement des langues secondes où deux étudiants de langue maternelle différente et apprenant chacun la langue de l’autre interagissent la moitié du temps dans une langue et l’autre moitié dans l’autre afin de s’entraider dans leur apprentissage (Brammerts, 2002). Pour les échanges en tandem, les enseignants peuvent identifier des sujets de discussion ou des tâches à réaliser sur la base du niveau de compétence de leurs propres élèves et des thèmes traités dans leurs classes respectives. Les bénéfices de ce type d’échanges synchrones ou asynchrones ont été amplement documentés dans la littérature (Arellano-Soto et Parks, 2021a, 2021b; Giguère et Parks, 2018; Priego, 2011; Vinagre et Muñoz, 2011). Cependant, sa mise en œuvre en milieu scolaire est encore rare en raison des obstacles auxquels font face les enseignants (Parks et Priego, 2017). Pour faciliter la gestion des échanges, les chercheurs ont d’abord créé la plateforme Tandem Canada (tandem.ulaval.ca) et depuis septembre 2020 ont mis en œuvre un projet de recherche-action pour explorer cette approche en milieu scolaire francophone québécois. Les échanges visent des élèves d’anglais langue seconde ou d’espagnol langue tierce qui sont jumelés avec des élèves apprenant le français à l’extérieur du Québec au Canada, aux États-Unis ou au Mexique. Nous présenterons le projet et discuterons de quelques résultats préliminaires.

Sabrina Priego, Susan Parks, Laurence Capus (Université Laval)

Usage des nouveaux médias et enseignement des arts visuels : quelques éléments d’analyse autour du processus de création

Cette communication vise à présenter les premiers éléments d’analyse d’une recherche interrogeant l’utilisation des appareils numériques mobiles dans des séquences en arts visuels et ainsi observer les aspects poïétiques (Passeron, 1996) de ces usages; c’est-à-dire en quoi les pratiques de création en jeu lors de l’utilisation des artefacts numériques se différencient d’autres pratiques de création. La récolte de données s’est déployée sur deux différents espaces, le premier comprenant un ensemble de séquences en arts visuels déposées par des enseignants sur des sites Internet (notre corpus comprend vingt documents issus de différents sites), le deuxième se construisant sur le terrain de la formation en didactique des arts visuels d’étudiants de la Haute école pédagogique du canton de Vaud en Suisse. À travers une analyse thématique transversale aux deux espaces, il s’agit d’observer ce qui nous est donné à voir autour de ces scénarios pédagogiques mêlant appareils numériques mobiles et arts visuels. L’un des volets de la recherche se concentre sur l’observation des processus de création en jeu dans ces séquences. Ce n’est pas tant de nouvelles configurations de processus de création qui sont recherchées ici que la compréhension de la singularité de certaines dynamiques et des modes opératoires (créativité , essai-erreur, pensée divergente et pensée convergente…). Ainsi, à travers cette recherche, il s’agit d’interroger ce nouveau paradigme : l’usage des appareils numériques mobiles en classe d’arts visuels modifie-t-il les modes opératoires des processus de création? Et permet-il à certaines pratiques artistiques et médiatiques de se développer?

Clara Périssé (Haute école pédagogique du canton de Vaud)

Des repères éthiques pour évaluer les apprentissages avec le numérique en formation à distance

Le geste évaluatif n’est jamais neutre en éducation. En classe, les notes soulèvent, par exemple, des questionnements en lien avec la justice et l’objectivité des évaluations. Des repères éthiques sont requis pour y répondre. Alors que le numérique suscite des défis en évaluation (plagiat et confidentialité), peu d’écrits décrivent les enjeux éthiques dans l’évaluation en formation à distance (FAD). Cette communication vise à comprendre les préoccupations éthiques liées au numérique dans l’évaluation en FAD. Une recherche phénoménologique menée auprès de 10 professeures et professeurs montre qu’en FAD, le numérique suscite une absence de liens interpersonnels. Les rétroactions médiatisées provoquent une perte de résonance et désynchronisent le rapport à autrui. L’éthique de la bienveillance et de la responsabilité suscite des repères pour créer de nouveaux liens. Prendre soin de l’autre, pour sa réussite, est alors saisi comme une responsabilité professionnelle des professeures et professeurs en évaluation en FAD.

Jean-Marc Nolla (Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue)

Des caractéristiques des étudiants à distance

S’il est beaucoup question de formation à distance (FAD) depuis le début de la pandémie de COVID-19, force est de constater que ce mode d’enseignement est loin d’être une nouveauté, comme le rappelle le sixième numéro de Médiations et médiatisations. La FAD connait un développement continu depuis le début de ce siècle (Conseil supérieur de l’éducation, 2015), notamment au Canada où les établissements d’enseignement supérieur accordent de plus en plus d’importance à la diversification des modalités de formation, qu’elle soit entièrement ou partiellement en ligne (Bates, 2018). Le nombre d’étudiants suivant des cours en FAD est ainsi en hausse constante depuis bon nombre d’années, au point qu’il semble pertinent d’interroger les travaux s’intéressant aux caractéristiques de ces individus longtemps considérés comme « non traditionnels » (Loisier, 2013). Dès lors que les étudiants fréquentant les campus sont de plus en plus variés, de même que les étudiants à distance, y a-t-il encore une différence? Sur quelles caractéristiques s’attardent les recherches? Afin de faire le point, nous proposons de faire part d’une revue systématique de la littérature à cet effet. Nous verrons que si l’objet de notre recherche semble « facile », dégager les écrits portant sur les attributs des apprenants à distance est quelque peu délicat. Nous présenterons ainsi la démarche empruntée et les principaux résultats obtenus.

Amélie Beaudoin, Cathia Papi, Serge Gérin-Lajoie (Université TÉLUQ)

Cette communication n’est pas accessible pour le moment.

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